Note sur l’écriture inclusive

Note sur l’écriture inclusive

Note sur l’écriture inclusive

L’écriture inclusive est née de la volonté de promouvoir l’égalité entre les femmes et les hommes et de combattre les stéréotypes sexistes. L’UCLouvain porte cette préoccupation. Notre université a développé un plan genre inscrit dans le plan stratégique Louvain 2020 qui inclut des recommandations pour communiquer sans discriminer. Ce programme est rédigé avec la volonté de s’adresser à toutes et à tous et d’éviter de véhiculer des stéréotypes. Il est rédigé avec, suivant les situations, une féminisation des titres et des métiers (doyenne et promotrice), l’usage de la double flexion (dans l’ordre alphabétique : les chercheurs et les chercheuses), le recours à des formulations qui évitent de considérer le masculin comme neutre ou, lorsque cela ne gêne pas trop la lecture, l’utilisation du point médian (par ex. les étudiant·es qui se lit dans sa forme non abrégée les étudiantes et les étudiants). Ma volonté est de m’adresser à toutes et à tous sans discrimination, il est naturel dès lors que les formulations utilisées reflètent cette volonté, sans pour autant qu’elles n’alourdissent excessivement le texte ou sa lecture.